L’écoresponsabilité agit comme une balise en pleine mer : si nous continuons de la sorte, nos océans seront vides d’ici 2050. L’industrie mondiale de la pêche tente d’exercer moins de pression sur les stocks grâce à divers programmes de gestion qu’on espère plus durables que les anciens. Aujourd’hui pour demain. Sur le terrain, les gestes varient selon l’échelle. Mais toutes comptent.

Lire l’article de Sophie Suraniti publié dans Le Devoir